0-6 moisLes pleurs de bébé
C'est sa seule manière de s'exprimer !
Le premier cri de bébé vous a ému aux larmes, mais de retour à la maison, les pleurs redoublent jour et nuit...
Voici quelques conseils pour comprendre ses pleurs et calmer bébé.
Cela commence par des pleurnichements sans cause apparente. Vous essayez de le distraire mais ses cris redoublent ? C'est qu'il est fatigué. Ces cris peuvent survenir à toute heure de la journée mais ils sont encore plus fréquents en fin de journée.
Voici quelques conseils pour comprendre ses pleurs et calmer bébé.
Pourquoi bébé pleure-t-il si souvent ?
Pleurer est normal pour un bébé : Pendant les trois premiers mois les pleurs surgissent jour et nuit, incompréhensibles, désarmants, exaspérants parfois. Pleurer est normal pour un bébé. Les nourrissons ont tendance à beaucoup pleurer pour créer un lien affectif et s'assurer qu'on va s'occuper d'eux.
Les pleurs sont le premier langage de bébé : C'est sa façon d'entrer en communication avec le monde qui l'entoure et de faire savoir ce dont il a besoin. Votre bébé dispose de tout un répertoire de pleurs qui vont du simple geignement au véritable cri de rage, pour exprimer ainsi tous ses besoins et ses émotions.
Parfois, pleurer est aussi un soulagement. Tout est nouveau pour bébé, il observe, écoute, mémorise. Pleurer l'aide à se libérer des tensions accumulées pendant la journée.
Les pleurs sont le premier langage de bébé : C'est sa façon d'entrer en communication avec le monde qui l'entoure et de faire savoir ce dont il a besoin. Votre bébé dispose de tout un répertoire de pleurs qui vont du simple geignement au véritable cri de rage, pour exprimer ainsi tous ses besoins et ses émotions.
Parfois, pleurer est aussi un soulagement. Tout est nouveau pour bébé, il observe, écoute, mémorise. Pleurer l'aide à se libérer des tensions accumulées pendant la journée.
Combien de temps cela va-t-il durer ?
Les pleurs débutent réellement autour de la deuxième semaine, puis ils vont croissant jusqu'à 8 à 10 semaines, pour s'apaiser vers la fin du troisième mois. C'est la fin des coliques, l'enfant parvient à un certain stade de maturité cérébrale et se fait mieux comprendre.
Les conseils :
Il faut toujours répondre rapidement et si possible de façon adaptée à l'appel de votre bébé pour le rassurer et l'aider ainsi à se forger une image rassurante du monde qui l'entoure.
Table rase sur les idées fausses : on ne fait pas un enfant capricieux en prenant un bébé qui pleure ou en répondant systématiquement à ses appels. Le caprice n'existe pas encore chez les tout-petits.
Il faut toujours répondre rapidement et si possible de façon adaptée à l'appel de votre bébé pour le rassurer et l'aider ainsi à se forger une image rassurante du monde qui l'entoure.
Table rase sur les idées fausses : on ne fait pas un enfant capricieux en prenant un bébé qui pleure ou en répondant systématiquement à ses appels. Le caprice n'existe pas encore chez les tout-petits.
Comment comprendre et calmer bébé ?
Pleurer est souvent un soulagement. Mais, dans certains cas, bébé exprime de cette façon un besoin spécifique. Comment décoder son langage et lui apporter la réponse adéquate ? Quelques trucs pour vous aider.
Bébé a faim : Un son strident, suivi d'une inspiration. Puis les sons repartent de plus belle, brefs, vigoureux, rythmés, et augmentent en intensité à mesure que votre bébé s'impatiente. Ce sont les pleurs les plus faciles à identifier car ce sont aussi les plus fréquents.
Bébé a faim : Un son strident, suivi d'une inspiration. Puis les sons repartent de plus belle, brefs, vigoureux, rythmés, et augmentent en intensité à mesure que votre bébé s'impatiente. Ce sont les pleurs les plus faciles à identifier car ce sont aussi les plus fréquents.
Les conseils :
Pour les coliques , utilisez un lait non "adapté" ou un biberon anti-colique (large choix de marques).
Ses premières dents vont faire souffrir bébé et sont donc source de nombreux pleurs. Pour le soulager, donnez-lui un anneau de dentition que vous pouvez aussi placer au réfrigérateur au préalable pour soulager ses douleurs de gencives. S'il continue de se plaindre, vérifiez s'il ne présente pas d'autres symptômes (fièvre, pâleur soudaine, vomissements…) et consultez votre médecin.
Pour les coliques , utilisez un lait non "adapté" ou un biberon anti-colique (large choix de marques).
Ses premières dents vont faire souffrir bébé et sont donc source de nombreux pleurs. Pour le soulager, donnez-lui un anneau de dentition que vous pouvez aussi placer au réfrigérateur au préalable pour soulager ses douleurs de gencives. S'il continue de se plaindre, vérifiez s'il ne présente pas d'autres symptômes (fièvre, pâleur soudaine, vomissements…) et consultez votre médecin.
Bébé est fatigué et a besoin de réconfort :
Cela commence par des pleurnichements sans cause apparente. Vous essayez de le distraire mais ses cris redoublent ? C'est qu'il est fatigué. Ces cris peuvent survenir à toute heure de la journée mais ils sont encore plus fréquents en fin de journée.
Les conseils :
Prenez bébé dans vos bras, bercez-le et couchez-le au calme.
Parfois, bébé éprouve le besoin de téter pour trouver du réconfort, c’est un réflexe naturel. Un doudou ou une sucette peuvent aider votre bébé à apprendre à se calmer seul et à mieux supporter vos séparations.
Prenez bébé dans vos bras, bercez-le et couchez-le au calme.
Parfois, bébé éprouve le besoin de téter pour trouver du réconfort, c’est un réflexe naturel. Un doudou ou une sucette peuvent aider votre bébé à apprendre à se calmer seul et à mieux supporter vos séparations.
Vous craquez ? Quelques conseils pour ne pas en arriver là.
Les cris des nourrissons sont des bruits très stridents...(ils peuvent atteindre 85 décibels, soit l'équivalent d'une rue animée), mais surtout, ils nous renvoient à notre impuissance à les soulager.
Les conseils :
Il pleure à fendre le coeur, vous avez tout essayé et rien n'y fait ?
Ne vous croyez pas obligée de rester à ses côtés. Installez-le bien au calme dans sa chambre, et éloignez-vous pour vous calmer. Ne plus sentir vos tensions et votre énervement permettra à bébé de se calmer plus vite.
Il pleurniche depuis une heure ? Allez-vous promener, flâner, le mouvement de la poussette et le changement d'air vont apaiser bébé. De plus, rien ne vous empêche de faire des repérages dans les vitrines !
Vous sentez augmenter votre impatience ? N'hésitez pas à passer le relais, Papa ou Mamie sont là pour vous aider. Offrez-vous un moment rien que pour vous : pourquoi ne pas en profiter pour vous offrir un soin en institut, un massage ou une nouvelle coupe de cheveux ?
Vous n’en pouvez plus ? Ne le secouez pas ! La fatigue, l’angoisse, l’impuissance et vous sentez monter l’envie de secouer bébé comme un prunier pour qu’il se taise. Surtout pas. Les muscles de son cou n’étant pas assez forts, sa tête est ballottée d’avant en arrière, et son cerveau vient se cogner contre les parois de sa boite crânienne. S’en suivent des lésions cérébrales irréversibles, parfois même la mort. C’est un geste de maltraitance bien connu des urgences pédiatriques. Pour éviter d’en arriver là, demandez de l’aide à un(e) voisin(e) et sortez de chez vous quelques minutes pour respirer. Sans avoir honte de votre épuisement.
Il pleure à fendre le coeur, vous avez tout essayé et rien n'y fait ?
Ne vous croyez pas obligée de rester à ses côtés. Installez-le bien au calme dans sa chambre, et éloignez-vous pour vous calmer. Ne plus sentir vos tensions et votre énervement permettra à bébé de se calmer plus vite.
Il pleurniche depuis une heure ? Allez-vous promener, flâner, le mouvement de la poussette et le changement d'air vont apaiser bébé. De plus, rien ne vous empêche de faire des repérages dans les vitrines !
Vous sentez augmenter votre impatience ? N'hésitez pas à passer le relais, Papa ou Mamie sont là pour vous aider. Offrez-vous un moment rien que pour vous : pourquoi ne pas en profiter pour vous offrir un soin en institut, un massage ou une nouvelle coupe de cheveux ?
Vous n’en pouvez plus ? Ne le secouez pas ! La fatigue, l’angoisse, l’impuissance et vous sentez monter l’envie de secouer bébé comme un prunier pour qu’il se taise. Surtout pas. Les muscles de son cou n’étant pas assez forts, sa tête est ballottée d’avant en arrière, et son cerveau vient se cogner contre les parois de sa boite crânienne. S’en suivent des lésions cérébrales irréversibles, parfois même la mort. C’est un geste de maltraitance bien connu des urgences pédiatriques. Pour éviter d’en arriver là, demandez de l’aide à un(e) voisin(e) et sortez de chez vous quelques minutes pour respirer. Sans avoir honte de votre épuisement.
- le sommeil de bébé, les fesses rouges, la toilette et les vaccins...
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